Petite je jouais à la marelle.
Après avoir tracé son dessin au sol, je me posais sur la terre et lançais le caillou, ma joie était d'arriver directement au ciel, ma vie d'enfant étant ce qu'elle était.
Notre vie est comme une marelle dont les épreuves sont les cailloux qui nous font avancer, nous marchons à cloche pied tant que nous sommes sans Dieu puis nous faisons volte-face.
Alors terre et ciel se rejoignent au paradis.
« Il ne faut jamais rester au seuil de son âme, il faut rentrer à l'intérieur, y descendre, y réfléchir, y méditer, y travailler et s'y laisser travailler… face à face avec Dieu ! »
Marthe Robin
Berthe Morisot |
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