Désir de toute puissance, tu avais perdu ton cœur, dans ta folie tu te prenais pour Dieu.
Pour toi les limites n'étaient pas recevables, il fallait te servir quitte à en mourir, comme l'impose le mauvais qui avait ton âme et qui a eu ta vie.
Il faut se demander qui est dans son cœur pour ne pas le perdre et savoir que Dieu n'impose rien et n'exige rien.
" Des ennemis, tu me délivres, oui, tu me fais triompher d'eux. Et tu viens m'arracher aux hommes violents. "
Psaume 18:48
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| Zurbarán |
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