La frénésie du monde s'éteint, plus rien pour l'alimenter, la nourriture est ailleurs.
Le rythme se calme, l’intérieur suivra ; la tête va à l'allure des pieds.
Le temps retrouve sa valeur, une valeur de présence, de présence à soi.
Un soi qui prend soin, un soi qui protège, un soi qui aime.
« C’est un monde infini qui s’ouvre d’une manière absolument nouvelle, lorsque l’on commence à vivre vers l’intérieur et non vers l’extérieur. Toutes les réalités auxquelles on était auparavant confronté deviennent transparentes, et l’on perçoit les forces qui vous portent et vous animent véritablement. »
Edith Stein
Cristoforo Roncalli |
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